Dans un tournant inattendu du paysage médiatique français, Léa Salamé a révélé que la décision de prendre les rênes du JT de 20h a été influencée par une phrase choc de Thierry Ardisson, décédé le 14 juillet dernier à 76 ans. Cette confession, faite dans les colonnes de Paris Match, a mis en lumière un moment clé qui a bouleversé sa carrière.

Lors d’une conversation marquante, Ardisson, figure emblématique de la télévision, aurait glissé à Salamé : « Si tu as l’occasion, prends ce vinaire. Dans ce pays fracturé, on a besoin de visages qui rassemblent. » Une phrase qui, selon la journaliste, l’a hantée pendant des jours, devenant finalement le déclic pour accepter ce rôle si médiatisé. Ce conseil est survenu après une polémique en mai, où Ardisson avait comparé Gaza à une situation explosive, provoquant un tollé et des excuses publiques.

Salamé évoque aujourd’hui Ardisson comme un « inventeur génial » et un homme profondément sensible, révélant une facette touchante de l’animateur derrière ses fameuses lunettes noires. Elle se souvient d’un homme capable d’un regard d’amour inébranlable pour sa compagne, un contraste frappant avec la controverse qui l’entourait.

Alors que le paysage audiovisuel français se redéfinit, cette révélation met en lumière l’impact durable d’Ardisson sur la carrière de Salamé. Sa décision d’accepter le JT de France 2 n’est pas seulement un choix professionnel, mais aussi un hommage à l’héritage d’un homme qui a su rassembler les esprits dans un pays déchiré. La voix de Léa Salamé résonne désormais avec la lumière de Thierry Ardisson, unissant les générations dans une quête d’authenticité et de vérité.