Philippe de Villiers a livré une charge explosive contre Apolline de Malherbe lors d’un entretien en direct, dénonçant une France en pleine décomposition. Dans un échange tendu, de Villiers a affirmé qu’« Emmanuel Macron s’en fout qu’on crève », soulignant un sentiment d’abandon parmi les petits maires et les citoyens. Il a mis en lumière une « colonisation des esprits » et un « territoire perdu », évoquant la crainte d’une France qui se dérobe sous l’effet d’une triple colonisation : du sol, des populations et des esprits.

Les mots de de Villiers résonnent comme un cri d’alarme face à une société fracturée. « 200 ou 300 territoires français qui ne sont plus français », a-t-il déclaré, peignant un tableau sombre de la réalité actuelle. L’ancien homme politique a dénoncé une « contre-société » qui, selon lui, menace l’identité française, faisant référence à des concepts comme la culture du cancer et le décolonialisme.

Lors de cet échange, il a affirmé que la France est en train de sacrifier son héritage culturel et linguistique, évoquant l’écriture inclusive comme un symbole de cette déliquescence. « Nous sommes en train de sacrifier notre langue », a-t-il lancé, appelant les Français à défendre leur patrimoine.

La tension a atteint son paroxysme lorsque de Villiers a révélé avoir été physiquement expulsé d’un événement à Sciences Po, illustrant la polarisation croissante du débat public. « Il y a des endroits où les Français ne peuvent plus aller », a-t-il averti, soulignant la nécessité d’un réveil collectif.

Cet entretien, diffusé en direct, a suscité des réactions vives et immédiates, interrogeant la liberté d’expression dans un climat où certaines idées sont systématiquement étouffées. La France est à la croisée des chemins, et le débat doit s’intensifier. Quelles sont vos réflexions sur ces propos ? Partagez vos pensées et engagez-vous dans cette conversation cruciale.