**Marine déprime face à l’incompétence de Bayrou…**

Dans un cri du cœur, Marine Le Pen a exprimé sa profonde désillusion face à la gestion calamiteuse du Premier ministre François Bayrou, alors que la France est confrontée à un drame insupportable. La mort tragique de Mélanie, une enseignante poignardée par un élève, a ravivé les inquiétudes sur la sécurité dans nos écoles et l’absence de réponses politiques efficaces.

« Les mots ne suffisent pas », a déclaré Le Pen, dénonçant l’ineptie des mesures proposées par le gouvernement, qui semble déconnecté des réalités alarmantes. Interdire la vente de couteaux en magasin, a-t-elle souligné, ne résout rien face à la banalisation de la violence chez les jeunes. La colère et l’indignation du peuple français sont palpables, alors que les familles vivent dans la peur constante de perdre un être cher à cause de la barbarie.

Le drame de Mélanie n’est pas un simple fait divers ; c’est un appel urgent à l’action. La société française est en décomposition, et l’ultraviolence s’est normalisée, en particulier chez les mineurs. Les ministres de la Santé, de l’Éducation nationale et de la Justice portent une lourde responsabilité dans cette dérive. Les mots des parents, comme ceux de la mère d’Elias, résonnent avec une tristesse déchirante : « Quand mon fils pourra-t-il avoir un couteau à l’école ? »

Face à cette situation critique, le gouvernement doit agir rapidement. Des contrôles renforcés à l’entrée des établissements scolaires ont été mis en place, mais est-ce suffisant ? Les mesures doivent être durcies pour dissuader les jeunes de s’emparer d’armes blanches. Ce n’est qu’en construisant des règles claires et en appliquant des sanctions sévères que nous pourrons espérer protéger nos enfants.

La France est en émoi. Le temps des mots est révolu. Il est temps d’agir.