**JORDAN BARDELLA PULVÉRISE UN ÉTRANGER SUR LES AIDES SOCIALES : UN DÉBAT ENFLAMMÉ**
Dans un discours percutant, Jordan Bardella, président du Rassemblement national, a récemment déclenché une tempête médiatique en s’attaquant frontalement aux aides sociales accordées aux étrangers. Lors d’une intervention sur un plateau de télévision, il a affirmé que les allocations familiales et le RSA devraient être réservés exclusivement aux citoyens français, une déclaration qui a suscité des réactions immédiates et passionnées.
Bardella a souligné que la solidarité nationale doit être priorisée pour les Français, arguant que les étrangers qui travaillent en France bénéficient déjà d’un système de protection sociale parmi les plus généreux au monde. “Il ne peut pas y avoir ce principe qui consiste à dire que vous arrivez en France, vous avez droit à la protection sociale”, a-t-il déclaré, évoquant une situation économique difficile et un déficit public alarmant.
Les chiffres qu’il a avancés sont tout aussi frappants : la France a enregistré un déficit public de 175 milliards d’euros, et près de 3 millions de ménages français attendent un logement social. Bardella a insisté sur l’urgence d’agir face à une situation où “un tiers des immigrés occupent des logements sociaux”, tout en appelant à une “préférence nationale” pour l’accès aux aides.
Les critiques n’ont pas tardé à fuser. Opposants et défenseurs des droits des étrangers ont dénoncé une politique qui pourrait exacerber les tensions entre Français et immigrés. “Attiser la haine entre les nationaux et les étrangers”, a rétorqué un intervenant, soulignant les dangers d’une telle rhétorique.
Ce débat, déjà explosif, ne fait que commencer. Avec des élections à venir et une population de plus en plus divisée sur la question de l’immigration et des aides sociales, Bardella pourrait bien avoir mis le doigt sur une plaie béante de la société française. La France est-elle prête à choisir entre solidarité nationale et accueil des étrangers ? Les jours à venir s’annoncent décisifs.