CIOTTI pulvérise DUHAMEL sur son MANQUE de NEUTRALITÉ

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**CIOTTI pulvérise DUHAMEL sur son MANQUE de NEUTRALITÉ : Un affrontement politique explosif !**

Dans un échange houleux lors d’une émission politique, Éric Ciotti a violemment critiqué le député Jean-Baptiste Duhamel pour son prétendu manque de neutralité. Les tensions étaient palpables alors que Ciotti dénonçait les discours jugés inefficaces de Duhamel, soulignant que les Français ne croyaient plus à ces paroles vides. “C’est dommage que Gérald Darmanin ne soit pas au ministère de la Justice”, a lancé Ciotti, insinuant que l’absence de mesures concrètes était à l’origine de la désillusion citoyenne.

Les chiffres parlent d’eux-mêmes : un récent sondage Ifop révèle que Darmanin ne recueille que 9 % des intentions de vote, un score alarmant pour un homme politique en quête de légitimité. En revanche, Ciotti, à la tête d’un groupe de 16 députés, clame son indépendance et sa volonté de rétablir une droite forte, tout en dénonçant les alliances jugées compromettantes avec le Rassemblement national.

La controverse s’est intensifiée autour de la question de la “double peine”, une mesure qui permettait d’expulser des étrangers condamnés. Ciotti a rappelé son engagement pour la réinstauration de cette loi, arguant que la sécurité des Français est en jeu. “Nous devons être clairs : la prison doit être la règle pour ceux qui commettent des crimes”, a-t-il martelé, soulignant l’urgence d’un changement radical.

Ce débat acharné illustre une fracture profonde au sein des Républicains, où les positions divergent sur l’alliance avec le Rassemblement national. Tandis que Ciotti prône un rapprochement, de nombreux cadres du parti s’y opposent fermement, craignant une dilution de l’identité républicaine.

En somme, cette joute verbale entre Ciotti et Duhamel n’est pas qu’un simple échange d’idées : elle révèle les fractures internes d’un parti en quête de renouveau face à un électorat de plus en plus désillusionné. La bataille pour l’avenir de la droite française ne fait que commencer, et chaque mot compte dans cette lutte pour le pouvoir.

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