L’avocat de Brigitte Macron brise le silence “quand elle était professeure, elle a… avec Emmanuel”

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Brigitte Macron se retrouve au cœur d’une tempête médiatique après qu’un verdict de la cour d’appel de Paris a relaxé deux femmes accusées d’avoir diffusé une rumeur explosive sur son identité de genre. Cette décision, rendue mi-juillet, est interprétée par certains comme une validation des allégations selon lesquelles l’épouse du président serait une femme transgenre. Toutefois, la justice précise que cette relaxe ne constitue en aucun cas une reconnaissance des faits, mais plutôt une décision sur la non-diffamation des propos.

L’avocat de Brigitte Macron, Christophe Bigot, a immédiatement réagi à ce jugement controversé, soulignant que la cour a statué que l’imputation d’une transition de genre ne porte pas atteinte à l’honneur, ne pouvant donc être qualifiée de diffamation. Cependant, un aspect de cette affaire a été jugé diffamatoire : les insinuations concernant la relation entre Brigitte Macron et Emmanuel Macron alors qu’elle était sa professeure. La cour a estimé que ces allégations, bien que basées sur des articles de presse, étaient diffamatoires.

Dans un contexte où la désinformation se propage à une vitesse alarmante sur les réseaux sociaux, Brigitte Macron, son frère et le ministère public ont décidé de se pourvoir en cassation. Parallèlement, le couple présidentiel a déposé une plainte aux États-Unis contre une influenceuse américaine qui a amplifié ces rumeurs dans des vidéos virales.

Cette affaire, qui touche à l’intimité de la première dame, souligne les défis juridiques posés par les théories complotistes en ligne. Dans un climat où la vérité est souvent obscurcie par des allégations infondées, le couple présidentiel se bat pour défendre son honneur et sa réputation. Restez connectés pour des mises à jour sur cette affaire qui continue de faire des vagues dans l’actualité française.

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