**Marion Maréchal s’attaque à Apolline de Malherbe sur les législatives : Un débat explosif !**
Dans une intervention qui a secoué le paysage politique français, Marion Maréchal a violemment critiqué Apolline de Malherbe lors d’une analyse des résultats des législatives. En direct, Maréchal a dénoncé les erreurs factuelles de la journaliste, affirmant qu’elle n’était pas membre du Rassemblement National (RN) et que les sondages indiquaient une possible majorité absolue pour le RN, contredisant ainsi les déclarations de Malherbe.
La tension était palpable alors que Maréchal, ex-députée européenne, a mis en lumière l’ampleur de la montée du RN, qui pourrait obtenir entre 260 et 310 sièges selon plusieurs instituts de sondage. “Ce tsunami électoral, avec 12 millions d’électeurs, ne peut être ignoré”, a-t-elle martelé, appelant à une mobilisation massive contre la coalition de gauche.
Maréchal a également évoqué la nécessité d’une alliance stratégique avec des députés des Républicains, insistant sur le fait que le RN pourrait obtenir une majorité même sans le soutien absolu des électeurs. “Je ne veux pas être Premier ministre pour ma gloire personnelle”, a-t-elle déclaré, soulignant son ambition de rassembler tous les Français autour d’un projet de redressement national.
Les déclarations de Maréchal surviennent dans un contexte électoral tendu, où la méfiance envers les alliances de gauche et l’extrême gauche grandit. Elle a appelé les électeurs de droite et du centre à se joindre à son mouvement, avertissant que la victoire du RN était non seulement possible, mais nécessaire pour éviter une dérive vers l’extrémisme.
Ce débat enflammé met en lumière les fractures au sein de la droite française et la montée en puissance du RN, alors que les élections législatives approchent à grands pas. Les enjeux sont clairs : une majorité pour le RN pourrait redéfinir le paysage politique français, et chaque voix comptera. La tension est à son comble, et le prochain scrutin pourrait bien être un tournant décisif pour l’avenir du pays.