Rachida Dati en pleine tempête médiatique : la ministre de la Culture a quitté le plateau de LCI en plein direct avant de revenir pour corriger des accusations qui la visent. Ce mardi 22 juillet 2025, l’ancienne garde des Sceaux a fait sensation lors de l’émission “Face à Thomas Misrachi”, alors qu’elle se défendait contre des charges de corruption et de trafic d’influence.
L’échange a rapidement pris une tournure houleuse lorsque le présentateur a évoqué des allégations selon lesquelles Dati aurait perçu 900 € pour des prestations de conseil non réalisées pour Renault Nissan entre 2010 et 2012. Furieuse, elle a nié ces accusations, dénonçant une instrumentalisation honteuse de sa situation. “J’ai une petite fille, et évidemment, la première réaction, c’est ça veut dire la prison,” a-t-elle déclaré, visiblement affectée par les implications de ces allégations.
Après avoir quitté le plateau, Dati a fait une entrée fracassante pour rectifier les propos de Guillaume Roquet, directeur du Figaro Magazine, qui avait affirmé que Renault était partie civile dans cette affaire. “Avec qui ai-je signé mon contrat d’avocate ? Renault Nissan,” a-t-elle insisté, clamant que l’alliance gérait les implantations d’usine à l’étranger. Sa réaction a été vive, et elle n’a pas hésité à interpeller Misrachi sur le contrôle du débat.
Dati, déterminée à ne pas laisser passer ce qu’elle considère comme des approximations, a finalement choisi de rester en régie pour suivre le reste de l’émission. Ce rebondissement souligne la combativité de la ministre, qui refuse de se laisser abattre par ces accusations graves. La tension est palpable, et les regards sont désormais tournés vers Dati, alors que la situation continue de se développer.