MARION MARÉCHAL pulvérise TF1 sur la NOMINATION de GABRIEL ATTAL

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MARION MARÉCHAL pulvérise TF1 sur la NOMINATION de GABRIEL ATTAL

Dans une déclaration explosive, Marion Maréchal a vivement critiqué la nomination de Gabriel Attal au poste de Premier ministre, la qualifiant de manœuvre politique douteuse. Selon elle, la 𝓈ℯ𝓍ualité ne devrait pas être un critère de sélection pour des fonctions aussi élevées, mais plutôt un aspect personnel. Attal, bien que jeune, n’est pas un novice, ayant déjà occupé des postes clés sous le gouvernement Hollande et cumulant six ans d’expérience ministérielle.

Maréchal a dénoncé la présentation médiatique d’Attal comme un “Messie” politique, rappelant que les mêmes éloges avaient été faits pour Emmanuel Macron en 2017. Elle a mis en lumière l’inquiétante montée de la délinquance en France, citant des chiffres alarmants sur les homicides et les violences 𝓈ℯ𝓍uelles, tout en questionnant l’efficacité de la politique actuelle face à cette crise.

Elle a également critiqué le ministre de la Justice, Éric Dupont-Moretti, qu’elle qualifie de “ministre du laxisme”, appelant à une réforme urgente pour faire face à l’augmentation des violences. Maréchal a souligné que la majorité des ministres restent inchangés, ce qui laisse présager une continuité dans les politiques jugées inefficaces.

La polémique s’intensifie autour de la nomination d’Attal, avec des interrogations sur les motivations d’Emmanuel Macron. Maréchal a suggéré que cette nomination pourrait être une tentative de neutraliser des rivaux au sein de la macronie. Alors que la France fait face à une crise de sécurité grandissante, Maréchal appelle à un véritable changement de cap, plaidant pour une transparence sur les liens entre immigration et délinquance.

Ce discours audacieux de Maréchal souligne la fracture croissante entre les attentes des citoyens et les actions du gouvernement. Les prochaines semaines s’annoncent cruciales pour l’avenir politique de la France alors que les débats sur la sécurité et l’immigration continuent d’agiter le paysage politique.

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