Brigitte Macron a réagi avec une vive inquiétude aux menaces de mort proférées par le rabin David Daniel Cohen à l’encontre de son mari, le président Emmanuel Macron. Dans une vidéo choquante diffusée sur YouTube, le rabin a déclaré que Macron « a tout intérêt à préparer son cercueil », incitant à une réaction immédiate des autorités. Ce discours alarmant, qui a été largement diffusé sur les réseaux sociaux, a conduit le parquet à ouvrir une enquête judiciaire.

Les déclarations incendiaires de Cohen, qui a comparé Macron à l’empereur romain Titus, ont suscité une onde de choc dans le pays. Le rabin a accusé le président français d’antisémitisme pour sa volonté de reconnaître l’État de Palestine, qualifiant cela de « déclaration de guerre à Dieu ». Dans un ton menaçant, il a exhorté les Français à fuir la colère divine, ajoutant que ceux qui soutiennent Macron devront faire face à des conséquences catastrophiques.

Le ministre de l’Intérieur, Bruno Rotaillot, a condamné ces propos, affirmant qu’ils ne sont pas acceptables et qu’une enquête a été confiée à la brigade criminelle de la police judiciaire parisienne. Les menaces de Cohen ne se limitent pas à Macron, mais s’étendent également aux Palestiniens, qu’il a qualifiés de « nomades » sur une terre qui ne leur appartient pas.

Cette affaire soulève des questions cruciales sur la liberté d’expression et la sécurité des personnalités politiques en France. Alors que l’enquête se poursuit, la tension monte et les appels à la paix et à la tolérance se font plus pressants. Le climat politique en France est plus que jamais sous tension, et les réactions à ces menaces pourraient avoir des répercussions profondes sur la société.