À 89 ans, Alain Delon révèle les 6 personnes qu’il déteste le plus à l’écran

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À 89 ans, Alain Delon ne fait pas que se remémorer son passé glorieux, il lève le voile sur des rancœurs longtemps enfouies. Dans une révélation explosive, l’icône du cinéma français a désigné les six personnalités qu’il méprise le plus à l’écran, un acte qui secoue le monde du septième art. Delon, dont la carrière a été marquée par des collaborations et des rivalités, n’a jamais hésité à faire savoir qu’il n’avait que du mépris pour certains de ses contemporains.

En tête de sa liste se trouve Jean-Paul Belmondo, avec qui il a partagé l’affiche dans le film mythique “Borsalino”. Leur relation, teintée de tension, a été marquée par des conflits d’ego et des désaccords sur le plateau. “On ne boxe pas dans la même catégorie,” a lâché Delon, illustrant un mépris qui ne s’est jamais dissipé.

Gérard Depardieu, autre titan du cinéma, n’échappe pas à la critique acerbe de Delon. Leurs styles opposés ont créé une fracture irréversible. Delon a même avoué n’avoir jamais regardé un film de Depardieu jusqu’à la fin, un dédain palpable.

Michel Piccoli, Jean-Pierre Melville, Maurice Ronet et Roger Hanin complètent ce tableau sombre. Chacun d’eux représente une facette d’un monde que Delon a choisi de fuir, préférant le silence au dialogue. “L’indifférence est une forme d’exclusion,” a-t-il déclaré, soulignant que derrière chaque nom se cache une déception, une trahison, ou un souvenir douloureux.

Alors que le vieux lion se retire dans l’ombre, il laisse derrière lui un héritage complexe, mêlé de gloire et de mépris. Ces révélations, loin d’être une vengeance, sont un miroir tendu vers un passé où les blessures demeurent ouvertes. Dans un univers où le silence est roi, Alain Delon rappelle que parfois, ne rien dire, c’est dire beaucoup.

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