Rodéos urbains : la tragédie d’une fillette de 7 ans secoue la France, et la gauche est sous le feu des critiques. La semaine dernière, un jeune de 19 ans a percuté et tué une petite fille alors qu’il participait à un rodéo sauvage à Contesens. Ce drame insupportable met en lumière l’absence de réponse adéquate des autorités face à cette pratique illégale. Le jeune homme responsable de l’accident n’a pas été placé en détention provisoire, laissant la communauté sous le choc et en colère.
Les réactions ne se sont pas fait attendre. Sébastien Chenu, vice-président du Rassemblement National, a dénoncé le laxisme de l’État et a pointé du doigt l’incohérence de certains élus de gauche qui, par le passé, ont défendu ces rodéos. “Camilia, la fillette de 7 ans, ne s’en sortira pas. Voilà où mène la tolérance face à la barbarie”, a-t-il déclaré, appelant à une prise de conscience urgente.
La gauche, quant à elle, semble désemparée. Des voix se sont élevées pour minimiser la gravité des rodéos urbains, les qualifiant de simples distractions pour des jeunes en mal d’occupation. Une réalisatrice a même insinué que les forces de l’ordre étaient responsables des accidents, provoquant l’indignation générale. “On marche sur la tête”, s’est exclamé un commentateur, dénonçant cette défense absurde des comportements criminels.
La tragédie de Camilia est un appel à l’action. Les citoyens exigent des réponses et des mesures concrètes pour mettre fin à ces rodéos qui mettent en danger la vie des innocents. L’heure est à l’urgence et à la justice. La France ne peut plus rester passive face à cette spirale de violence et d’impunité.