Marion Maréchal a frappé fort lors d’un débat en direct, dénonçant le laxisme judiciaire et la montée inquiétante de zones échappant à l’autorité de l’État. Dans une intervention percutante, elle a décrit ces “territoires perdus de la République” comme des lieux où la loi ne s’applique plus, où l’immigration massive et le désengagement de la justice créent un cocktail explosif menaçant la cohésion nationale.
Maréchal a évoqué des incidents récents, notamment l’agression d’une policière en présence de ses enfants, soulignant l’angoisse croissante des forces de l’ordre face à une criminalité galopante alimentée par l’islamisme et le délitement de l’autorité. “Nous avançons vers une guerre civile”, a-t-elle averti, rappelant que les tensions ethniques et religieuses exacerbent les conflits dans des quartiers déjà en proie à la violence.
Elle a également critiqué la rhétorique de l’extrême gauche, qui dépeint la police comme l’ennemi, et a plaidé pour une prise de conscience collective face à une situation qui ne cesse de se détériorer. “Il est insupportable de parler de racisme d’État alors que nous faisons face à des émeutes raciales”, a-t-elle déclaré, appelant à une réponse ferme contre la montée de l’anarchie.
Maréchal a mis en lumière la nécessité d’une réforme urgente du système judiciaire et d’une réévaluation des politiques d’immigration, avertissant que l’inaction pourrait mener à des conséquences catastrophiques pour la France. Le climat de peur et d’insécurité dans ces zones est devenu insupportable, et elle a appelé les citoyens à s’unir pour défendre l’État de droit.
Cette déclaration retentissante ne manquera pas de susciter des réactions et de raviver le débat sur la sécurité et l’immigration en France. Les enjeux sont plus que jamais critiques, et la nation doit se réveiller face à cette réalité alarmante.