Trump et DeSantis ouvrent “l’Alcatraz des alligators” : détentions massives et médias expulsés!

Thumbnail

**Trump et DeSantis ouvrent “l’Alcatraz des alligators” : détentions massives et médias expulsés!**

Dans un tournant alarmant de la politique migratoire américaine, le gouvernement de Donald Trump, en collaboration avec l’administration de Ron DeSantis, a inauguré un nouveau centre de détention en Floride, surnommé par les habitants “l’Alcatraz des alligators”. Ce site, entouré de marécages et de surveillance militaire, est devenu le théâtre d’une opération secrète de déportation qui soulève de vives inquiétudes quant à la transparence et aux droits humains.

Les médias, bien que présents, sont tenus à distance, à 30 mètres des grilles, où ils ne peuvent qu’entendre des promesses vagues lors de conférences de presse soigneusement orchestrées. Les journalistes sont escortés vers des angles morts, incapables de vérifier les conditions de détention, alors que le gouverneur DeSantis assure que tout est fait dans le respect des droits des détenus. Mais derrière ces déclarations se cache une réalité troublante : des familles disparaissent sans laisser de trace, et les détenus n’ont pas accès à des avocats ni à un procès équitable.

Les vols de déportation, souvent nocturnes et sans préavis, continuent d’opérer, emportant des personnes vers des pays inconnus. La peur s’installe dans les communautés, où les gens évitent de parler espagnol ou de se rendre à l’école, craignant d’être les prochains sur la liste. Les histoires des disparus, comme celle de Flora, une mère de famille arrêtée sans explication, deviennent la nouvelle normalité.

Ce qui se passe en Floride dépasse la simple répression : c’est une réinvention cynique de l’exclusion. Alors que le gouvernement clame agir pour la sécurité nationale, la réalité est que des vies sont brisées dans l’indifférence générale. La question demeure : qui sera le prochain ? La démocratie elle-même est en jeu, et il est urgent de dénoncer cette dérive avant qu’il ne soit trop tard.

Leave a Reply

Your email address will not be published. Required fields are marked *