**Titre : MARION détruit APOLLINE sur L’ASSASSINAT de la SURVEILLANTE**
Un drame insupportable a secoué la France mardi 10 juin 2025, lorsqu’une surveillante de 31 ans, Mélanie G., a été poignardée à mort devant le collège Françoise Dolto à Nogan par un élève de 14 ans. L’adolescent, armé d’un couteau de cuisine de 34 cm, a asséné 11 coups de couteau à la victime, blessant également un gendarme intervenu sur les lieux. Ce meurtre tragique soulève des questions cruciales sur la sécurité dans les établissements scolaires et la gestion des jeunes délinquants.
Marian Maréchal, dans une analyse percutante, dénonce les réactions des politiques face à cette tragédie. Au lieu d’apporter des solutions concrètes, les mesures proposées, telles que l’interdiction de vente de couteaux aux mineurs, sont jugées inefficaces. La loi existe déjà, mais son application est défaillante. Maréchal souligne que les véritables coupables ne sont pas les armes, mais les jeunes en perte de repères, souvent influencés par un environnement violent.
La réponse du gouvernement, axée sur la sécurisation matérielle, est critiquée. Les portiques de sécurité, bien qu’annoncés, ne sauraient prévenir de telles agressions. En effet, le contrôle des sacs a échoué à empêcher ce drame, le jeune ayant agi par désespoir face à une fouille. Maréchal appelle à une réflexion plus profonde sur la faillite du système judiciaire et éducatif, où 40 % des condamnés ne purgent jamais leur peine.
La situation est alarmante : près de 80 000 personnes sortent de prison chaque année, dont beaucoup sans accompagnement. Le ministre de la Justice, Gérald Darmanin, propose une “révolution pénale”, mais les promesses de création de places en prison demeurent largement non tenues.
Ce tragique événement n’est pas qu’un fait divers ; il symbolise une crise sociétale plus large. La France doit agir rapidement pour protéger ses enfants et restaurer l’autorité de l’État face à la violence croissante. Le temps presse, et les mots ne suffisent plus.