**APOLLINE PULVÉRISE LOUIS BOYARD SUR L’ASSASSINAT DE MATISSE : UN DRAME QUI RESSUSCITE LE DÉBAT SUR LA RESPONSABILITÉ PÉNALE DES MINEURS**
Dans un échange houleux diffusé en direct, Apolline de Malherbe a confronté Louis Boyard au sujet de l’assassinat tragique de Matisse, un adolescent de 15 ans poignardé à mort à Châteauroux. Ce drame, survenu le 27 avril, a choqué la France et relance la question épineuse de la responsabilité pénale des mineurs.
Boyard, visiblement agité, a tenté de défendre sa position sur le droit de vote à 16 ans tout en plaidant pour une atténuation de la responsabilité pénale des jeunes. « Faut-il vraiment juger des adolescents comme des adultes ? » a-t-il questionné, tout en étant confronté à la dure réalité de la violence juvénile. Le meurtrier présumé, un autre adolescent déjà connu des services de police, a été interpellé peu après l’agression, soulevant des inquiétudes sur la récidive et la gestion des jeunes délinquants.
Apolline, avec une verve incisive, a dénoncé l’inefficacité des politiques actuelles face à la montée de la violence. « Le problème n’est pas seulement juridique, mais éducatif ! » a-t-elle clamé, appelant à une réflexion plus profonde sur l’encadrement des jeunes. Elle a souligné que les décisions du gouvernement, dont celles de Gabriel Attal, ne répondent pas aux véritables besoins des adolescents, souvent laissés à eux-mêmes.
Les témoignages de témoins de l’incident révèlent un climat de peur et de désespoir parmi les jeunes, qui s’interrogent sur la violence omniprésente dans leur quotidien. La question de la légitime défense, souvent invoquée dans des conflits, est mise en lumière dans ce contexte tragique, où des vies sont brisées par des actes de violence insensés.
Alors que le débat s’intensifie, la France est à un tournant : comment protéger nos jeunes tout en les rendant responsables de leurs actes ? La voix d’Apolline résonne comme un appel urgent à l’action, alors que le pays fait face à une crise de la jeunesse. Les réponses doivent venir rapidement, avant qu’un autre drame ne frappe à nouveau.
