Carla Bruni, l’épouse de l’ancien président Nicolas Sarkozy, a été brutalement éjectée de la Légion d’Honneur, un revers inattendu qui secoue le monde politique français. Alors que sa promotion au rang d’officier semblait actée, un coup de théâtre judiciaire vient de tout faire capoter : sa mise en examen dans l’affaire explosive des financements libyens.
Selon les révélations de Mediapart, le dossier de promotion, pourtant validé et ficelé au ministère de la Culture, a été bloqué à la dernière minute. La grande chancellerie a pris la décision de préserver l’honneur de l’ordre, stipulant qu’une personne mise en examen ne peut être promue. Carla Bruni, apparemment prise de court, aurait appris l’annulation de sa nomination sans même avoir été informée de son existence. Une claque pour celle qui incarne souvent l’élégance publique, mais face à la tempête judiciaire, l’élégance ne suffit plus.
Ce retournement de situation n’est pas un cas isolé. D’autres personnalités, comme Luc Besson, ont également vu leur promotion annulée en raison de questions d’honorabilité. La grande chancellerie admet que jusqu’à 15 % des candidatures sont ajournées chaque année, souvent pour des raisons similaires.
Cette affaire, déjà tentaculaire, continue d’éclabousser les anciens locataires de l’Élysée, mettant en lumière les ramifications politiques et judiciaires qui ne cessent de se multiplier. Carla Bruni, symbole de glamour et de statut, se retrouve désormais au cœur d’une tempête médiatique qui pourrait bien redéfinir son image et celle de son mari. La France retient son souffle alors que le scandale s’intensifie et que les répercussions se font sentir à tous les niveaux.