Brigitte Macron, la Première Dame de France, se retrouve au cœur d’une tempête médiatique suite à des rumeurs alarmantes concernant sa santé mentale. Ces accusations, alimentées par des théories du complot, affirment que Brigitte Macron serait une femme transgenre, un mensonge qui a pris de l’ampleur dans les cercles d’extrême droite. Le président Emmanuel Macron a été contraint de répondre à ces allégations lors d’une interview sur TF1, dénonçant ces fake news comme des attaques infondées et malveillantes.

Depuis plusieurs années, une campagne de désinformation circule, prétendant que Brigitte aurait été connue sous le nom de Jean-Michel Trogieux. Cette théorie, qui semble absurde, a été relancée par des médias d’extrême droite, notamment un groupe dirigé par Xavier Poussard, proche d’Alain Soral. Le phénomène a pris une ampleur inquiétante, notamment aux États-Unis, où la commentatrice Kandas Owens a qualifié cette rumeur de “plus grand scandale politique de l’histoire de l’humanité”, attirant plus de 1,2 million de vues sur YouTube.

Rudy Rat, analyste des médias, souligne que ces rumeurs ne sont pas de simples bruits de couloir, mais des mensonges orchestrés qui visent à saper l’image de la Première Dame. Emmanuel Macron a fermement défendu sa femme, affirmant que ces accusations sont non seulement fausses, mais aussi nuisibles, et qu’elles font partie d’une manipulation à grande échelle.

Alors que la France est en émoi face à cette désinformation, la question se pose : jusqu’où iront ces attaques ? Les rumeurs sur Brigitte Macron ne sont pas qu’une simple anecdote, mais un reflet inquiétant de la montée des théories du complot qui menacent l’intégrité personnelle et publique. La Première Dame mérite le respect et la protection contre de telles calomnies. La vigilance est de mise, car cette affaire met en lumière les dangers d’un discours toxique qui s’infiltre dans notre société.