Un DÉPUTÉ RN pulvérise APOLLINE de MALHERBE sur sa PROPAGANDE anti-RN

Dans un échange explosif sur le plateau de RMC, un député du Rassemblement National (RN) a vigoureusement riposté aux accusations d’Apollinaire de Malherbe, qui l’a accusé d’être le relais de la propagande russe en France. Lors de son intervention, le député a dénoncé l’article du Washington Post, affirmant qu’il ne reposait sur aucune preuve tangible et relevait davantage de l’accusation gratuite que du journalisme sérieux.

« Il n’y a pas de complicité active du RN avec les messagers du Kremlin », a-t-il martelé, insistant sur le fait que les allégations étaient infondées. En réponse à la critique de la ligne éditoriale de certains médias, il a rappelé que le RN avait même demandé la création d’une commission d’enquête sur les ingérences étrangères, sans que rien ne puisse être reproché au parti jusqu’à présent.

Le député a également fustigé l’utilisation politique de ces accusations, les qualifiant d’indignes et de méthodes de caniveau, notamment à l’approche des élections européennes. « Ce sont des attaques désespérées d’un gouvernement qui n’a plus d’arguments », a-t-il ajouté, soulignant que les préoccupations des Français, telles que le pouvoir d’achat et la sécurité, sont largement ignorées par l’actuelle majorité.

La tension sur le plateau a atteint son paroxysme lorsque le député a évoqué une manipulation des discours politiques par le parti d’Emmanuel Macron, qui aurait détourné les vœux de Marine Le Pen pour les faire passer pour une propagande pro-russe. Ce coup de théâtre a suscité des réactions vives, illustrant la polarisation croissante du paysage politique français.

Alors que les élections approchent, cette altercation met en lumière les stratégies de communication agressives des partis en lice, et souligne la nécessité d’un débat public basé sur des faits plutôt que sur des accusations infondées. La bataille pour l’opinion publique s’intensifie, et chaque mot compte dans cette lutte acharnée pour le pouvoir.