**APOLLINE PULVÉRISE LOUIS BOYARD SUR L’ASSASSINAT DE MATISSE : UN DRAME QUI INTERROGE LA SOCIÉTÉ**

Dans une confrontation explosive, Apolline de Malherbe a mis Louis Boyard face à la réalité tragique de l’assassinat de Matisse, un adolescent de 15 ans poignardé à mort à Châteauroux. Ce drame, survenu le 27 avril, soulève des questions brûlantes sur la responsabilité des mineurs et la violence juvénile.

Matisse, apprenti cuisinier et fils de restaurateur, a succombé à ses blessures après une agression brutale. Un autre jeune, déjà connu des forces de l’ordre, a été arrêté en lien avec cette affaire. Les témoins évoquent un groupe d’agresseurs, illustrant une spirale de violence qui inquiète la population.

Le débat sur la responsabilité pénale des mineurs est relancé. Boyard, fervent défenseur du droit de vote à 16 ans, se retrouve confronté à la contradiction de sa position face à la gravité des actes commis par des jeunes. Apolline l’interroge sur la légitimité de considérer ces adolescents comme des adultes lorsqu’il s’agit de crimes violents. La tension monte alors que Boyard défend son point de vue, mais peine à justifier l’absence de responsabilité face à des actes aussi graves.

La société est à un tournant, avec des appels à une répression plus sévère. Les récentes propositions du gouvernement pour lever l’excuse de minorité suscitent des réactions passionnées. Les jeunes, souvent victimes de cette violence, se posent des questions sur leur avenir et la place de l’éducation dans cette équation.

Les mots sont puissants et l’urgence palpable. Matisse n’est pas qu’une statistique ; il est le symbole d’une jeunesse en détresse, d’un système qui peine à protéger ses enfants. Les débats s’intensifient, et la société doit maintenant faire face à ses responsabilités. La question demeure : que faire pour prévenir de tels drames à l’avenir ? La réponse est urgente et nécessaire.