Un ancien policier, Mathieu Valet, a récemment suscité un tollé en abordant l’affaire Naël, une affaire qui a secoué la France. Dans une intervention percutante, Valet a dénoncé la perception biaisée des violences en France, accusant la gauche de minimiser la réalité des faits divers violents. Selon lui, les chiffres parlent d’eux-mêmes : les homicides ont augmenté de 28 % depuis 2016, tandis que les violences physiques non létales ont grimpé de 380 à 628 pour 100 000 habitants.
Valet a également évoqué la stratégie des autorités iraniennes, qui retiennent des ressortissants français en tant qu’otages, soulignant l’absence de preuves concrètes contre eux. Il a critiqué les tentatives de la gauche de réduire la couverture médiatique des faits divers, qu’il considère comme une censure visant à dissimuler la vérité sur la délinquance.
L’affaire Naël, qui implique un policier accusé d’homicide volontaire, a été mise en lumière par Valet, qui affirme que la version policière a été invalidée par les enquêtes. Le policier, Floriant, a été libéré après cinq mois de détention provisoire et a repris son service. Son procès est prévu pour 2026, mais la tension autour de cette affaire demeure palpable.
Valet a appelé à une réaction ferme contre la délinquance, plaidant pour l’expulsion des criminels étrangers et dénonçant le laxisme des juges. Alors que la France se retrouve au bord de l’explosion sociale, les mots de Valet résonnent comme un cri d’alarme sur l’état de la sécurité et la justice dans le pays. Les émeutes de 2023 sont encore dans les mémoires, et les Français s’interrogent : jusqu’où ira cette spirale de violence ?