**Titre : Il y a 2 minutes : Trump exige du bois, Carney claque la porte — Détroit s’effondre en une nuit**
Une décision inattendue du gouvernement américain a plongé le secteur de la construction dans le chaos : une taxe de 35 % sur le bois canadien a été imposée, menaçant l’avenir de millions de foyers américains. Ce geste, perçu comme une agression économique par le Canada, a immédiatement déclenché des réactions en chaîne sur les marchés, provoquant une flambée des prix et des retards de livraison. Les entrepreneurs, déjà éprouvés par des taux d’intérêt élevés, se retrouvent à devoir revoir leurs budgets et à suspendre des projets.
Les voix s’élèvent des deux côtés de la frontière. À Ottawa, des responsables parlent d’une rupture de confiance, tandis qu’à Washington, la justification de cette mesure est teintée d’un nationalisme économique. Les États-Unis, en croyant pouvoir se passer du bois canadien, risquent de s’enfermer dans une spirale d’incertitude. Les petites entreprises, des maçons aux architectes, commencent à ressentir l’impact immédiat : des projets sont annulés, des emplois menacés.
Les conséquences s’étendent bien au-delà du simple coût du bois. Les chaînes d’approvisionnement vacillent, et un sentiment de désespoir s’installe parmi les familles qui espéraient construire leur avenir. Les Canadiens, fatigués de recevoir des coups, envisagent désormais de rediriger leur production vers d’autres marchés, laissant les États-Unis face à une pénurie imminente.
Cette crise du bois n’est pas seulement économique, elle est profondément symbolique. Elle souligne l’interdépendance fragile entre deux nations qui, autrefois, bâtissaient ensemble. Les conséquences se feront sentir dans chaque coin de l’Amérique, alors que le rêve de posséder une maison devient de plus en plus inaccessible. Les voix des travailleurs, des entrepreneurs et des familles se mêlent dans un cri de désespoir, alors que la tempête économique se profile à l’horizon. Le temps presse, et les choix d’aujourd’hui détermineront l’avenir de demain.