**DERNIÈRES NOUVELLES : Gene Simmons et Piers Morgan réagissent avec colère à la mort d’Ozzy Osbourne !**
Le 25 juillet 2025, le monde du rock est plongé dans le chagrin après la mort d’Ozzy Osbourne, légende du heavy metal et fondateur de Black Sabbath, à l’âge de 76 ans. Décédé paisiblement à Los Angeles, entouré de sa famille, Ozzy laisse derrière lui un héritage musical immense, mais aussi une profonde colère parmi ses proches. Gene Simmons, cofondateur de Kiss, et Piers Morgan, journaliste britannique, expriment leur indignation face à l’hypocrisie médiatique qui entoure cette perte.
Simmons, visiblement ému, dénonce le traitement réservé à Ozzy durant ses dernières années, affirmant : « Où étiez-vous quand il luttait contre la maladie ? » Cette colère, partagée par de nombreux fans, s’est intensifiée avec la couverture médiatique opportuniste qui a suivi la mort d’Ozzy. Les hommages, bien que sincères, sont teintés d’une amertume palpable, alors que les médias semblent avoir ignoré l’artiste vivant.
Piers Morgan a également pris la parole, s’attaquant à l’industrie qui a utilisé Ozzy comme une « mascotte trash » tout en le négligeant. Son cri de désespoir, « Vous l’avez tué à petit feu », résonne comme un appel à la réflexion sur la manière dont nous célébrons nos icônes après leur départ. Les veillées en hommage à Ozzy se multiplient, et les artistes du monde entier se lèvent pour revendiquer une reconnaissance tardive mais nécessaire.
La mort d’Ozzy Osbourne ne se limite pas à un simple deuil ; elle soulève des questions cruciales sur le respect dû aux légendes vivantes et sur la façon dont nous honorons ceux qui ont façonné notre culture. Alors que le monde du rock se remet de ce choc, l’appel à une introspection collective devient plus urgent que jamais. Ozzy n’est pas seulement une icône disparue, il est le miroir de notre propre humanité, et sa mémoire doit être préservée dans toute sa complexité.
