Un POLICIER du RN pulvérise DANIÈLE OBONO sur les LÉGISLATIVES

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Un incident explosif a secoué le plateau de BFM TV ce matin, lorsque le policier du Rassemblement National (RN) a violemment confronté la députée LFI Danièle Obono lors d’un débat sur les législatives. Les tensions palpables ont éclaté en une joute verbale intense, où les accusations et les contre-accusations ont fusé. Le policier a accusé Obono de mépris envers les forces de l’ordre, la qualifiant d’irrespectueuse et de méprisante, tout en dénonçant ses propos sur le Hamas, qu’elle a qualifié de “mouvement de résistance”.

L’échange a rapidement pris une tournure dramatique alors que le policier a évoqué les conséquences économiques de l’augmentation du SMIC proposée par Obono, prédisant la destruction potentielle de centaines de milliers d’emplois. “Vous ne pouvez pas ignorer la réalité économique !”, a-t-il lancé, illustrant les préoccupations croissantes autour de l’impact des politiques de gauche sur les entreprises et l’emploi.

Obono, quant à elle, a répliqué avec véhémence, affirmant que le discours du RN alimentait la peur et la division, tout en plaidant pour une politique de justice sociale. “Il est temps de sortir de cette rhétorique qui stigmatise les Français d’origine étrangère”, a-t-elle insisté, soulignant la nécessité d’un débat serein et respectueux.

La tension a atteint son paroxysme lorsque le policier a accusé Obono de jouer avec les mots, notamment en ce qui concerne les violences policières et les discours sur le racisme systémique. “Vous avez un problème avec la vérité !”, a-t-il crié, alors que la discussion devenait de plus en plus houleuse.

Cet affrontement sur le plateau de BFM TV met en lumière les fractures profondes dans le paysage politique français à quelques jours des élections législatives. Les deux camps, RN et LFI, semblent irréconciliables, et le climat électoral s’annonce particulièrement tendu. Les électeurs sont appelés à se prononcer sur des questions cruciales qui pourraient redéfinir l’avenir de la France.

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