Israël a lancé une offensive sans précédent contre l’Iran, marquant une escalade dramatique dans les tensions au Moyen-Orient. Dans la nuit du 12 au 13 juin, l’État hébreu a déclenché l’opération “Rising Lion”, une attaque massive qui n’a pas été observée sur le sol iranien depuis la guerre Iran-Irak il y a plus de 25 ans. Cette offensive vise à détruire les infrastructures militaires iraniennes, notamment les systèmes de défense aérienne et les installations nucléaires, dans un contexte de menace croissante liée au programme nucléaire de Téhéran.
Les frappes israéliennes ont été méthodiquement orchestrées, impliquant des vagues de chasseurs F-15, F-16 et F-35. Les forces israéliennes ont ciblé plus de 100 sites, lançant environ 330 bombes pour neutraliser les capacités militaires de l’Iran. Les premières images de la destruction des installations ont déjà circulé, témoignant de l’ampleur de l’opération.
Israël justifie cette offensive en raison des déclarations belliqueuses de l’Iran, qui a exprimé son intention de détruire l’État hébreu. En réponse, Téhéran a lancé une contre-attaque avec des drones et des missiles balistiques, certains atteignant des cibles israéliennes, soulignant ainsi le risque d’une escalade encore plus grande.
Les experts militaires s’inquiètent des implications de cette escalade, tant pour la sécurité régionale que pour l’équilibre des forces. Les États-Unis, qui surveillent la situation de près, pourraient être appelés à intervenir pour éviter une déstabilisation plus profonde de la région. La communauté internationale retient son souffle alors que les événements se déroulent, et les conséquences de cette offensive pourraient redéfinir les relations au Moyen-Orient pour les années à venir.
