**MARION MARÉCHAL PULVÉRISE UNE JOURNALISTE SUR L’AFFAIRE PHILIPPINE**

Dans un contexte de tension sociale croissante, Marion Maréchal a fait sensation en direct, dénonçant le laxisme de la justice face à une affaire tragique : le meurtre d’une étudiante philippine de 19 ans, retrouvée sans vie dans le bois de Boulogne. Le suspect, un ressortissant marocain de 22 ans, était déjà condamné pour viol et sous le coup d’une obligation de quitter le territoire français. Libéré récemment, il est accusé d’avoir commis ce crime odieux, soulevant des questions brûlantes sur l’efficacité de notre politique migratoire.

Maréchal ne s’est pas contentée de pointer du doigt les dysfonctionnements judiciaires. Elle a exposé des chiffres alarmants : 77 % des suspects de viol à Paris sont des étrangers. Avec un viol sur la voie publique tous les trois jours, la situation devient intenable. “C’est inacceptable de voir des prédateurs sur notre sol,” a-t-elle martelé, appelant à une réévaluation urgente des lois sur l’immigration et la justice.

Le corps de la jeune femme a été enterré récemment, mais l’indignation ne faiblit pas. “Un violeur condamné à cinq ans de prison, c’est un scandale,” a-t-elle insisté, avant de questionner le rôle des juges qui, selon elle, semblent favoriser le laxisme. Les statistiques révèlent une exécution des obligations de quitter le territoire à peine supérieure à 7 %.

Ce drame soulève des interrogations profondes sur la sécurité des femmes en France et sur la responsabilité des autorités. Alors que la colère monte, la question demeure : que doit-on faire pour protéger nos citoyens et garantir que de telles tragédies ne se reproduisent plus ? La réponse est urgente et nécessaire.