Un scandale de corruption secoue l’équipe Macron, plongeant la République dans le chaos. Alors que le gouvernement vacille, deux ministres s’affrontent dans une guerre ouverte qui pourrait signifier la fin de l’ère macronienne. Bruno Retailleux aurait qualifié Rachida Dati de “bombe à retardement” lors d’un conseil restreint, accusant la ministre de la Culture d’être un poids mort pour l’exécutif, déjà affaibli par des affaires judiciaires. “Elle nous ridiculise”, aurait-il lancé, sous le regard glacial de Manuel Macron, qui semble perdre le contrôle de la situation.
Alors que l’affaire Dati prend une tournure dramatique, la ministre est renvoyée devant le tribunal correctionnel pour corruption présumée, accusée d’avoir perçu 900 000 € de Renault Nissan sans contrepartie. Dati crie au complot politique, affirmant que ces accusations surviennent à un moment trop commode, juste avant son investiture pour Paris. À l’Élysée, la panique s’installe : “On savait que Dati était toxique, mais personne n’imaginait que Retailleux lui déclarerait la guerre”, confie un conseiller désabusé.
Dans ce contexte, la cacophonie règne au sommet de l’État. Le ministre de l’Intérieur, multipliant les provocations, a récemment qualifié Macron de “faible”, tandis que d’anciens ministres macronistes, comme Clément Bone, préparent déjà leur revanche. L’opposition, elle, se frotte les mains. Marine Le Pen promet une motion de censure, tandis que Jean-Luc Mélenchon exige la démission de Dati.
La question brûlante demeure : ce gouvernement est-il encore gouvernable ? La République est-elle en train de s’effondrer sous le poids des ambitions personnelles et des scandales à répétition ? Si ce chaos ne vous incite pas à suivre l’actualité minute par minute, vous assistez à la fin d’une ère. Croyez-vous encore à la stabilité macronienne, ou l’Élysée n’est-elle plus qu’un théâtre d’ombres, où chacun joue sa propre partition avant le naufrage final ?
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