D’ORNELLAS pulvérise FRANCE 2 sur son ÉMISSION anti-BLANCS

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**D’ORNELLAS pulvérise FRANCE 2 sur son ÉMISSION anti-BLANCS**

Dans un déferlement de critiques, Charlotte Dornellas a violemment désavoué l’émission de France 2, “Sommes-nous tous racistes ?”, diffusée le 17 juin 2025. En 1h40 de programme, l’animatrice a tenté de répondre à une question brûlante : “Sommes-nous tous racistes ?” La réponse, selon elle, est sans appel : oui. Mais cette conclusion a suscité une tempête de controverses.

Dornellas, dans une analyse acerbe, a remis en question la méthodologie de l’émission. Avec des participants mal équilibrés, 32 blancs contre 18 non-blancs, elle a dénoncé une approche scientifique fallacieuse. “Cette expérience invalide toute prétention scientifique,” a-t-elle déclaré, pointant du doigt l’absence de définition claire du racisme tout au long du programme. Elle a également critiqué la supervision scientifique, jugée biaisée, et a mis en lumière les dangers d’une catégorisation simpliste des individus.

Le programme, censé décortiquer le racisme ordinaire, a été accusé de renforcer des stéréotypes au lieu de les déconstruire. Les expériences menées, comme celle d’un vol de vélo, ont été interprétées comme des preuves de préjugés, sans tenir compte des réalités sociologiques complexes. “Nous avons des préjugés, c’est indéniable,” a reconnu Dornellas, mais elle a insisté sur le fait que ces préjugés ne doivent pas occulter des vérités statistiques.

Avec des chiffres alarmants sur la délinquance et la surreprésentation des étrangers dans certains types de crimes, elle a appelé à une réflexion plus nuancée. “L’émission n’a fait que gratter la surface d’une réalité bien plus complexe,” a-t-elle conclu, laissant entrevoir une nécessité de dialogue et d’éducation, mais pas de stigmatisation.

Ce débat enflammé sur le racisme en France soulève des questions cruciales sur la manière dont les médias abordent des sujets aussi sensibles. La polémique est loin d’être close, et les réactions affluent. Reste à savoir comment ce discours va évoluer dans la sphère publique.